A l’heure du content shock, de l’infobésité et des fake-news, certains content marketeurs intelligents optent (heureusement) pour une démarche créatrice de contenu plus responsable, plus généreuse et plus collective. S’associer dans un intérêt commun pour créer un contenu d’une qualité exceptionnelle génératrice d’une vraie valeur ajoutée informationnelle pour son audience est une des façons de transformer une éventuelle contrariété (nous sommes tous plus ou moins concurrents) en une tangible opportunité (nous sommes tous de potentiels partenaires). C’est ce qu’a fait le fondateur de Faber-content en s’associant au CMIT pour créer l’année dernière le livre blanc « content marketing : engager ou mourir » qui fait le point sur les tendances et pratiques du content marketing en France.
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Après quelques frayeurs et des mois de travail je livrais enfin en avril 2017 mon premier livre blanc dédié au marketing de contenu en France : engager ou mourir.
A l’heure du content shock, de l’infobésité et des fake-news, certains content marketeurs intelligents optent (heureusement) pour une démarche créatrice de contenu plus responsable, plus généreuse et plus collective. S’associer dans un intérêt commun pour créer un contenu d’une qualité exceptionnelle génératrice d’une vraie valeur ajoutée informationnelle pour son audience est une des façons de transformer une éventuelle contrariété (nous sommes tous plus ou moins concurrents) en une tangible opportunité (nous sommes tous de potentiels partenaires). C’est ce qu’a fait le fondateur de Faber-content en s’associant au CMIT pour créer l’année dernière le livre blanc « content marketing : engager ou mourir » qui fait le point sur les tendances et pratiques du content marketing en France.
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Après quelques frayeurs et des mois de travail je livrais enfin en avril 2017 mon premier livre blanc dédié au marketing de contenu en France : engager ou mourir. Pourquoi des frayeurs ? l faut revenir à la genèse du projet pour comprendre. En novembre 2016, après des années passées dans des entreprises de presse ou de communication, je décide d’ouvrir ma propre structure, baptisée Faber Content, pour proposer un accompagnement sur le marketing de contenu et les stratégies de contenu aux entreprises.
Après avoir réalisé un site et engrangé les premiers clients, mon objectif a été d’émerger et de gagner en visibilité dans un champ concurrentiel bien établi constitué d’une pléthore d’agences et de freelances. Il est d’usage de dire que les cordonniers sont les plus mal chaussés. C’est en voulant démentir cet adage que je me suis lancé dans une stratégie de contenu, fondée essentiellement sur des posts sur Faber-content.com et un intense travail de diffusion pour les faire rayonner.
Des chiffres, des chiffres…
Au fil de mes pérégrinations pour collecter de l’information sur mes thématiques, très vite l’absence de données fiables sur le marketing de contenu en France est apparue comme un vrai frein. Certes les données issues des États-Unis abondent, mais leur très légère avance de phase (euphémisme) sur le sujet ne préjuge en rien du marché français et de la maturité et usages des marketeurs en inbound. Dont acte. Très vite je mets en ligne un questionnaire d’une vingtaine de questions (quali/quanti) en ligne… et l’attente commence. L’incrémentation du nombre de répondants est affreusement linéaire. Les jours passent et le compteur monte doucement. Un mois après sa mise en ligne, le Club des directeurs marketing de l’IT (CMIT) par la voix de son VP Jean-Denis Garo me contacte et me propose de s’associer à l’étude. Une demie-seconde plus tard (oui je suis lent), le deal est fait et en quelques jours plusieurs dizaines de directeurs marketing issus du CMIT répondent au questionnaire. Issus pour la plupart de directeurs marketing du B2B, ces réponses complètent les premières, issues elles de praticiens B2C.
À plusieurs on va plus loin
Premier effet de l’association, les membres du CMIT, pour la plupart directeurs marketing de grandes entreprises commentent les résultats pour chaque item, apportant ainsi une légitimité au contenu en plus de l’expertise. Quelques semaines après, s’ensuit enfin la livraison de l’étude et une campagne promotionnelle avec envoi des bonnes feuilles et tout ou partie du contenu aux blogs et influenceurs du secteur. Avec à la clé des retours positifs et de nombreux articles et partages sociaux renvoyant vers la zone de téléchargement du site Faber Content. Outre plusieurs millions d’impressions sur twitter, l’étude a été téléchargée 500 fois en moins de trois mois sur le site faber-content.com et quasiment autant de leads ont été générés. Bref, une opération de marketing de contenu de la plus parfaite orthodoxie.
A paraître en avril 2018, la 2ème étude statistiques sur la pratique française du content marketing. En attendant, retrouver l’étude 2017 ici.